Balade à Dijon 2

Nous arrivons a Dijon le vendredi matin vers 11 h, on planque la voiture dans une rue proche du centre et on commence nos déambulations dans la ville, de l'hyper centre ville, le Dijon des ducs de Bourgogne. Il fait froid, malgré un pale soleil.
Nous découvrons la ville et ses attraits.

Des parcs aux cryptes , on ne va rien laisser au hasard, d'abord l'ours blanc du sculpteur POMPOM

Les cryptes romanes et leur orants.  on rentre fourbu à l'hôtel. Avant de ressortir pour aller prés des halles pour dîner, on délace les chaussures, et l'on prend un temps de repos bien mérité.

le lendemain la visite continue par le musée des beaux arts, ses collections sont très riches en particulier tout ce qui touche de prés ou de loin au duché de bourgogne dont les joyaux sont les tombeaux des ducs (Philippe le Hardi, Jean sans Peur et de Marguerite de Bavière.)

Nous ne verrons pas la salle des tombeaux, celle ci est en réfection et transformation, mais le musée en cette période expose les pleurants qui entoure le pieds des tombeaux .

 Ils reviennent d'un long voyage aux Usa, et sont présentés comme une longue procession. l'effet est saisissant  cela donne un meilleure vision que dans leur position normale. Nous restons longtemps a les observer et les photographier, bien que cela ne soient pas une tache aisée.

L’après midi, en suivant le chemin des écoliers, nous prenons le chemin du retour, ce qui nous emmènera vers la source de la Seine.



Le site de la source de la seine appartient à la ville de Paris, c'est un endroit très romantique et voulu comme tel. La fontaine reçoit son lot de piécettes de toutes sortes et aussi curieusement Trois étoile de mer !



a raison de 25 a 30 km par jour, il ne faut qu'une trentaine de jours pour rejoindre le Havre....

Nous terminerons notre découverte par une petite balade des jardin du château de Bussy Rabutin, écrivain et libertin de renom du grand siècle.
"Peu a peu, par sa conduite politique et les manoeuvres de son esprit, il s'aliéna le cardinal de Mazarin, Condé, Turenne et Louis XIV; ses amis ne purent le défendre, là est le secret de sa chute..."



Le soir nous étions de nouveau a Pannes, et durant tout ce temps passé dans le pays de bon vin, pas une seule fois, nous n'avons fait une dégustation , ni ramené quelques flacons.