09/06/2009

Debut de semaine et debut de stage


Les week end passent et ne se ressemblent pas, surtout du point de vue Météo !
Samedi, veille de la fête de mère, Yohan, Seb et Caro, sont venu nous faire coucou et partager nos tomates farcies, obtenues de hautes luttes, les tomates , dans les gondoles à travers les caisses surpeuplées de Leclerc. Jamais, sans ce temps pourri, nous n'aurions fait escale dans ce temple de la consommation effrénée.

Dimanche matin , riant, un soleil de saison ,nous fait sortir , pour aller cette fois en répérage dans les magasins de meubles. Il en manque un peu pour combler le vides qui ne manqueront pas d'apparaitre rue Mozart... On rêve devant les lit gigogne, les dressings et autres colonnes de salle de bain. On change d'enseigne, allant du prestige de la porte (lapeyre), au dieu Atlas, en Fly ant, sans oublier un dioRAMA de CONFORT.
et, ce faisant, on oublie l'heure, d'aller déjeuner.
Sauvé, le carrefour Pompadour est bien pourvu en lieux de restauration , rapide ou non. Ce fut , plutôt lent, puisque nous y avons passé presque deux heures pour déguster un carpaccio, au Bistrot romain.
Puis pour tenir une promesse faite a Vincent , nous sommes allé lui rendre visite a sa caserne à Gennevilliers, après seulement 25 mm de trajet par les périphérique quasi vide. Une conduite sereine, peinarde, tranquille jusque dans la cour,.
Pas d'agitation, pas de bruit, les véhicules sagement rangé dans les garages, quelque place bien vide.
Nous déambulons dans les couloir, tentant de retrouver une ame qui puisent nous conduire vers Vincent. Las, bien que chef de garde et de 3e départ, Vincent était parti pour feu d'entrepôt dans St Ouen.
Bec dans l'eau! Ma foi dans l'air du temps.
Que faire après ce fiasco, une tentative de rejoindre les puce fut elle aussi déjouée, ne restait que le morne retour vers la maison au travers de paris et ces encombrements, pas de quoi, nous donner du beaume au moral .
Le triomino nous à un peu aider a terminer la soirée en attendant les piètres résultats des élections. Je ne comprends pas, le désintérêt des concitoyens pour ces élections, alors que cela nous impacte dans le quotidien au delà de nos imaginations. Le démantellement de la société qu'on construit nos parents sur les valeurs de la Libération, continue jacque jour un peu plus, au nom d'un libéralisme économique débridé. Tous fout le camp, la rengaine des Has Been...

Chaque jour, anxieux, je consulte la météo, en effet, depuis cet Am, nous sommes en stage sur le motif.
Les 10 personnes, fidèles du cour sont là, mais pas le temps, nous avons donc passé l'am dans l'atelier, avec le doux tintinabulement des gouttelettes d'eau sur le Macadam.
Ma foi, pas si facile le travail d'atelier.

Demain, on espère aller glaner quelque trait au bords du lac.
mais voir alors atelier ou parapluie ?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire